Archive pour la Catégorie 'Erys, pour vous servir!'

So long, my friends.

Bonjour mes petits rats. Ça va ?

Moi….

Moi je viens vous faire mes au-revoirs. Ou plutôt mes à-bientôts ! 

Comme je vous l’avez annoncé, Le Petit Blog Inutile, c’est fini. Je clos officiellement ce blog. Mais il restera à disposition sur la toile si vous êtes désireux de relire les 5 ans d’articles ou de revoir d’anciennes créations. Si vous êtes courageux. 

Au revoir, Petit Blog Inutile, tu auras été avec moi pendant une grande partie de mon adolescence, et même une partie de mon « après-adolescence ». Au revoir, mes chers lecteurs, tous plus sympa les uns que les autres ! Merci d’avoir bien voulu lire ce blog, merci de m’avoir soutenue. Vous êtes géniaux.

Et pour les plus coriaces d’entre vous, les désireux d’assister à la suite, voici le petit frère du Petit Blog Inutile : 

LE PETIT INUTILE

Eh oui, l’aventure change de chemin, mais elle ne s’arrête pas totalement. à Bientôt sur Le Petit Inutile

Bisous, 

Erys.

Tout plein de changements

    Coucou l’univers!! Je suis en vie.
    Et j’ai beaucoup BEAUCOUP BEAUCOUP de choses à vous dire.

    Déjà, j’ai passé fin avril, comme vous le savez, le concours pour l’école supérieure d’art de Bretagne et il s’avère que J’AI TOUT NIQUÉ PARDONNEZ MON LANGAGE. Eh oui. J’ai été prise aux trois sites que j’ai présentés, c’est à dire Brest, Quimper et Lorient, donc, NORMALEMENT, cela sonne pour moi l’heure du départ et de quitter Paris. J’ai décidé du coup d’aller m’installer à Brest avec le Kiwi et Ciboulette, afin d’entrer dans ce merveilleux monde que sont les études d’arts. Je vais galérer. Mais ça risque d’être bien fun quand même. Du coup, JE PAAARS. OUIIII!!! Bon, je vais aller voir la ville et l’école avec ma maman avant d’être sure mais, entre-nous, ma décision est prise. Je me suis trop battue pour avoir cette école et il s’avère que je l’ai eue « easy » puisque j’ai été retenue pour 3/3 sites, ce qui prouve en quelque sortes que je suis « faite » pour leur enseignement. Donc bon, tout ça sous-entends la recherche active d’un appartement et un déménagement intempestif avant septembre. Mais ça va aller. Laule.

    Autre nouvelle. Demain, je pars pour une semaine en Bretagne (oui, ça parle beaucoup de Bretagne ces derniers temps) dans la formidable « ville » d’Erquy avec Anouilh, Diggory, Petit Nuage, Batman, Biche Gonflable et Kiwi, ainsi que Rara qui arrivera vendredi ! Faut vraiment que je fasses un truc pour ces surnoms… Je pars dans la cambrousse donc je n’aurais pas internet, alors vous n’aurez pas de nouvelle de moi pendant ce temps… Sorry!!! Mais bon, c’est pas comme si une semaine de plus ou de moins allait changer quelque chose à ma ponctualité inexistante. xD

    Bon. Désormais il est temps de vous révéler la nouvelle la plus importante de cet article. Il semblerait très fortement que ledit article soit le tout dernier du blog. JE M’EXPLIQUE. En effet, Le Petit Blog Inutile, c’est fini. Je le ferme. MAIS! Puisqu’on ne se débarrasse pas si facilement de moi, Le Petit Blog Inutile ferme, certes, mais c’est pour laisser la place à son petit frère : LE PETIT INUTILE. La suite, en gros. 

    Pourquoi? Ce blog va fêter ces 5 ans. Il a bien vécu en fait. Et moi aussi. J’avais une quinzaine d’années quand je l’ai ouvert. J’ai un peu beaucoup changé depuis (encore heureux), ce qui explique de créer un nouveau blog, dans la même vague, mais plus proche de moi, et moins en raccord avec celle que j’étais avant. J’ai besoin de changements, et je crois que c’est le moment idéal pour lancer autre chose ;)

    Donc, il y aura un article pour vous présenter la nouvelle adresse du blog. Ne vous en faites pas, je ne disparais pas! 
    Bisous!! 

Quand je serai grande, je veux être performeuse.

Une brève histoire de performance, ou « Comment j’ai découvert un art bizarre et affectueux ».

            Cette histoire commence de façon tout à fait paisible. Je me devais comme à chaque semestre, de choisir un atelier de pratique théâtrale parmi la liste particulièrement vaste que me proposait la brochure. Étant en année de grand questionnement intérieur, presque métaphysique, j’avais choisis de suivre une classe préparatoire en arts plastiques en plus de ma deuxième année de licence car, c’est bien connu, j’aime le surplus de travail. Je sortais d’un premier semestre dans lequel mon cours de pratique avait été la scénographie parce que « Tu comprends, ca serait intéressant de mêler théâtre et arts plastiques, hun-hun. » Ce cours, quoiqu’intéressant, demeurait cependant très statique, et j’avais besoin de bouger. De bouger réellement. C’est la raison pour laquelle je me suis jetée, avec une force que je ne me soupçonnais guère, sur ce cours de « Performance Artistique et Théâtrale ». Même le nom était beau. J’avais fait le bon choix.

            Pourtant cette histoire, qui commençait de façon tout à fait paisible, ne le niez pas ce fut ma première phrase, prend une toute autre tournure lorsqu’arrive le travail. Le vrai. Oubliées les séances calmes et quelques fois étonnamment sensuelles du début, où l’on tournoyait sur nous-même et où nous récitions des vers de Hamlet couchés sur les doigts ramollis d’un gant en plastique bleu. Non, le vrai travail arrivait à pas de géant, celui du texte, de la mise en scène, de la distribution, de la chorégraphie, de la mémoire, de la mise en espace, du choix des accessoires, de la libération physique et de la maitrise du sang froid. Enfin bref, de la création quoi.

            Notre groupe, composé de l’italienne Raf, la taiwanaise Cycy, la plus-ou-moins marocaine Rachid et de la bien trop française moi-même, avait eu la vaste et vénérable idée de choisir comme support textuel une saynète de Carole Fréchette, un doux nom résonnant le caribou et le sirop d’érable, (vous l’aurez deviné, Carole Fréchette est en effet québécoise et je m’excuse solennellement auprès de tous les québécois pour ces clichés idiots), scène nommée simplement La Pose. On assiste aux déboires de la famille [insérer le nom de votre choix] qui se dispute à propos d’une photo à prendre, d’un fauteuil à occuper, d’une pose de groupe à organiser, d’une plante à tenir, d’un appareil à faire marcher, d’un sac à trouver, d’une histoire à raconter. Mais ce que la scène présente vraiment est une famille dans laquelle se cache un problème plus profond, une cicatrice qui n’a pas vraiment été refermée : une fille toujours absente (Marie-Luce/Cycy), un fils dépressif (Jérôme/Raf), un père coureur de jupons (Gilbert/Rachid) et une mère ayant quitté la famille pour un amant italien (Monique/Erys).

         Cette scène avait été associée à la très gaie Chaise Electrique d’Andy Warhol (1967-68), puisque chaque scène arborait son jumeau plastique dans le Centre Pompidou. La chaise électrique, le fauteuil… Un lien évident s’était créé assez rapidement : la mort. L’une d’entre nous devrait donc être morte. Très vite, mon absence le jour de la présentation de la performance s’imposa. En effet, à vouloir jouer le couteau-suisse avec mon double-cursus, je me retrouvais à passer le concours des Beaux-Arts de Rennes le même jour que la performance finale. J’ai toujours bien choisi mes emplois du temps. Mon absence inévitable se reporta alors assurément sur Monique, la mère, le rôle que j’interprétais. Monique ne serait pas seulement partie avec son amant italien puis revenue, elle serait partie tout court, et jamais revenue. Monique serait donc morte et enterrée.

            Ce fut donc notre première difficulté. Puisque je serai absente le Jour-J, mais présente les autres jours, il fallut alors créer deux versions de la même saynète. Mais puisqu’une difficulté n’arrive jamais seule, il fallait aussi trouver un moyen de représenter la mort de Monique sans non plus l’éjecter de la scène. Sa présence devait alors être symbolique. Fantomatique. Monique devrait être présente sans l’être vraiment.

            La première version, celle où je n’étais pas perdue dans le froid Rennais, mettais en scène une Monique-Spectre vêtue en tenue de deuil, lunettes noires, voilette, fleur blanche dans les mains, au milieu du public, faisant face à sa famille qui lui parlait mais ne la voyait pas. La deuxième version, bien plus compliquée à mettre en œuvre, mais encore plus symbolique, ne faisait plus du tout apparaître Monique. Seule sa voix retentissait depuis le public. Moi, de mon côté, j’étais à Rennes, sous la pluie, en train de hurler dans le combiné du téléphone pour qu’on m’entende bien, alors que je n’entendais pas un seul mot prononcé par mes camarades sur le lieu de la performance, tellement la ligne coupait. J’ai essayé tant bien que mal de me boucher une oreille et de courir à la recherche du réseau, j’ai été incapable d’entendre quoique ce soit et j’ai donc dû valser entre les interférences en plus d’entre les gouttes, pour pouvoir greffer mes quelques répliques. Il paraît que je me suis bien débrouillée et que l’illusion était parfaite. Je n’aurais pas souffert pour rien.

            Puisque deux de mes coéquipières étaient étrangères, imposant malheureusement une certaine barrière linguistique pour certains termes, et la troisième étant co-présidente de beaucoup trop d’associations, j’ai dû endosser un rôle de metteur en scène assez important pour cette performance. Cela s’est aussi ajouté au fait que je n’étais même pas capable d’être présente le jour J. Il fallait bien que je serve à quelque chose, non mais sans blague. Je me suis alors pour la première fois de ma vie, vraiment proposée en tant que metteur en scène, avec l’aide de Rachid. C’était un nouveau défi. C’était aussi un rêve caché tout au fond de mon petit cerveau, mais c’était surtout un défi. Il a fallu trouver des idées, les modérer, laisser les autres proposer leurs propres idées, ne surtout pas être trop autoritaire et savoir organiser tout ça. Il a fallu prendre patience, et je me suis rendue compte que savoir faire comprendre une intention à quelqu’un n’est pas toujours évident, et encore plus lorsque cette personne ne maîtrise pas très bien votre langue (mais je ne les blâme pas, je suis incapable de dire un seul mot des leurs.) Un grand travail de mouvement et de chorégraphie a aussi été mis en place. Les performeuses seraient trois, nombre un peu mesquin, il fallait trouver un bon équilibre scénique pour que ces trois-là se marchent sur les pieds sans se faire mal, et surtout sans détruire les œuvres de la salle de Pompidou.

            Il a fallu se dépasser pour proposer une création à mi-chemin entre naturalisme et symbolisme, en créant une atmosphère double, aussi drôle que pesante. Ce travail en équipe fut aussi compliqué par le peu de séances que nous avions malgré tout pour proposer un travail efficace rapidement. J’ai découvert de ce fait le formidablement intéressant mais compliqué monde de l’adaptation. La scène étant plutôt longue, et ayant sous la main des comédiennes avec une légère difficulté à apprendre un texte en français, ce qui est tout à faire légitime d’ailleurs, nous avons dû en couper une grande partie, et adapter les répliques pour que le sens premier du texte soit néanmoins conservé et que Carole Fréchette ne se sente pas contrariée à force de nous voir trifouiller son œuvre. Le travail en groupe, même si plutôt difficile, a malgré tout été très intéressant et m’a personnellement permis de me dépasser dans mes capacités théâtrales. Je quittais doucement le jeu pour effleurer la mise en scène, ainsi que le théâtre performatique.

            D’ailleurs, si la performance artistique est un moyen pour l’artiste de se dépasser, de franchir ses limites corporelles, intellectuelles et sociales, c’est, à mon avis, surtout un moyen pour l’artiste de mélanger les arts et de briser sa routine, tout en brisant celle du regardeur. Si je n’ai malheureusement pas eu la possibilité d’être présente le jour de la performance, j’ai malgré tout senti le rapport particulier qu’on a avec le public lors d’une performance artistique. Il ne vient pas nous regarder agir délibérément comme au théâtre, c’est nous qui venons agir à son insu, sans qu’il s’y attende, et parfois sans qu’il n’aie initialement vraiment envie. Et même si je n’étais pas à Pompidou le jour J, j’ai en quelque sorte proposé ma propre « performance », celle de crier dans un téléphone, en t-shirt sous la pluie, sur le parvis de la Place des Lices de Rennes. Un vrai bonheur. Mais, plus sérieusement, pour moi, la performance c’est essentiellement un moyen pour les artistes de défendre leurs opinions en faisant tout et surtout n’importe quoi dans un musée. Et ça, c’est formidable. Quand je serai grande, je veux être performeuse.

L’histoire de crush d’enfance…

Yo l’univers. Comment ça va bien? 

Ça fait belle lurette que je n’ai rien écrit dis donc. Eh oui. Du coup, et comme j’avais un peu envie de retourner aux BASES (la baz) de ce qu’est ce blog, c’est à dire un ramassis de truc inutiles, je vais donc vous faire une formidable liste de mes crushs d’enfance, attention, ils sont nombreux, et pour la très grande majorité d’entre eux, absolument inexplicables et inexpliqués. 

Vous êtes prêt pour la LISTE DU BONHEUR? Allons y, let’s go, c’est parti les amis.

 

Robin des Bois
De Disney. Un renard. Oui oui. Jugez pas svp.

Franck Dubosc
Je crois que je le trouvais beau. (à défaut de le trouver drôle)

(appellons le) « Bobo »
Un petit garçon dans ma classe en primaire. Je suis restée amoureuse de lui pendant 5 ans, alors qu’il était méchant avec moi, se moquait de moi ou m’ignorait. L’amour est aveugle. Et débile.

Tarzan
J’aimais les hommes nus.

Dimitri dans Anastasia
Mes débuts de crush pour Emmanuel Curtil (le doubleur)

Casse Noisette dans Barbie Casse Noisette
Emmanuel Curtil, encore et toujours.

Buck dans L’Age de Glace 3
Monsieur Curtil. Epousez moi. (no comment pour la belette)

Kiwi à 11 ans quand je l’ai rencontré
Comme quoi.

Han Solo
Et Indiana Jones. Mais ça compte pour un seul. 

Monsieur Baxter dans Tintin
Ma mère avait le même crush d’enfance. Donc ça va.

Marty mcFly dans Retour Vers Le Futur
On ne change pas une équipe qui gagne.

Bert dans Mary Poppins
Surtout quand il danse avec les pingouins.

(ça commence à faire un paquet.)

Yann Malcolm dans Jurrassic Park
Mais. Mais wut.

Laurent Delahousse 
Ok. Là ça devient flippant.

Flynn/Eugene dans Raiponce
2010 c’était mon enfance encore un peu. Même si en vrai c’est toujours mon crush.

 

 

Voilà. C’est ainsi que cet article sans aucun intérêt mis à part votre peur soudaine face à mes goût d’enfants particuliers et visiblement zoophiles. Bisous. 

 

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Life is old there, older than the trees, younger than the mountains, growin’ like a breeze.

Coucou!!

Comment allez vous tous?

Ça fait longtemps que j’ai pas écrit d’article, c’est vrai… En voici un petit vite fait (un vrai plusse mieux trop cool arrive demain) pour vous rappeler que le CONCOURS est toujours en cours et que je n’ai reçu aucune participation pour l’instant, même de ceux m’ayant confirmé personnellement leur participation… ^^

D’ailleurs, la date de rendu des oeuvres est décalée au 28 Février, ce qui fait qu’il vous reste encore un peu plus d’un mois! ;)

N’hésitez vraiment pas à participer, il s’agit juste d’envoyer un mail ahah! ;)

 

 

Bon, pour le concours, c’est fait.

J’espère que vous allez tous bien!! ;) Des critiques de ciné devraient arriver d’ici peu, normalement la semaine prochaine! ;) Alors, vous avez passé un bon noel? Pas trop galère la rentrée? Moi mon Noel était plutôt giga méga cool, et pour ce qui est de la rentrée, eh bien je ne suis qu’en semi-vacances car j’ai repris la prépa mais pas la fac du coup c’est un peu relou… Pour Nowel, j’ai eu des bo kados, comme des cactus, une trop jolie figurine de la fusée de Tintin, une figurine de Hank from Le Monde de Dory, et un très cool pull avec ce-même poulpe dessus car le Père Noel sait que j’aime ce personnage, un super livre sur l’illustration, des pastels, un DVD, quelques fringues, ET UNE FORMIDABLE SURPRISE MAIS VOUS VERREZ ÇA DEMAIN OMG. Enfin comme d’habitude j’ai eu 20 000 cadeaux car ma famille et mes amis sont des fifous trop généreux. MAIS, cette année je ne me suis pas laissée dépasser, j’ai fait vraiment beaucoup de cadeaux autour de moi ahah! J’étais un peu la Mère Noel (mais pas l’officielle.)

Aujourd’hui j’ai passé la journée avec mon cousin Mimi et c’était trop cool car on a bien ri. Et on a vu un film bizarre. J’en ferai une critique aussi tiens.

Là je suis toute seule dans mon lit, avec la lumière de ma lampe renard que m’a offert Rachid pour Nowel (trop belle omg), avec ma playlist cow-boy en boucle (j’aime la country) et un mal de bide incessant car nous sommes dans la période du mois. Mais sinon ça va. xD

Cette nuit j’ai rêvé de zombies. C’était chelou. Très réaliste et très cool! Mais chelou. Je rêve pas mal en ce moment. Comme d’habitude vous allez me dire, mais même encore un peu plus. Allez savoir pourquoi. C’EST MON IMAGINATION QUI S’ÉVEILLE!

Il y a un de ces vents dehors. Ça va arracher mes volets.

Oui je passe du coq à l’âne sans raison. 

Et alors?

Hein?

Hein?

Bref.

Puisque je vous avoue avoir un petit bug d’inspiration là je vais vous partager la musique que j’écoute en ce moment, afin que vous vous enjailliez façon cow-boy en même temps que moi. Yee-ah.

Image de prévisualisation YouTube

titre : parole de Take Me Home Country Road
traduction – « La vie est vieille ici, plus vieille que les arbres, plus jeune que les montagne, et grandit (augmente) comme une brise. »

Cette chanson est d’ailleurs reprise dans une film des studios Ghibli appelé Si tu tends l’oreille ET QUE JE VOUS INVITE À VOIIIIIR

J’ai mal aux pieds.

Bonjour. J’ai super mal aux pieds car j’ai mis des bottes que je mettais au collège et que j’avais pas remises depuis, je les ai mises un doux petit quart d’heure et maintenant je suis dans l’incapacité’ de me déplacer sans avoir les talons qui saignent. C’est un bonheur. 

Ça va vous sinon? Je galere un peu à écrire cet article sur mon tel car Kiwi utilise mon ordi pour regarder des documentaires sur les squamates. Wow. J’ai retenu le nom. en gros ce sont des lézards.

JE VAIS VOUS DIRE MES CADO! Bah oui parce que Lundi c’etait notre Nowel alors j’ai eu mes cado! :3 

Encore une fois j’en ai eu beaucoup trop… notamment de superbes lunettes de vue vertes, des CACTUS, une tres jolie robe étoilée, des boules pour mon sapin, une figurine de la fusée de Tintin *^*, et une belle panoplie de produits avec Hank. Kécécé? Hank, c’est le poulpe orange du Monde de Dory et je suis tombée amoureuse de ce personnage. Du coup le’ Père Noel m’a apporté un MAGNIFIQUE pull avec Hank dessus, et une figurine Funko Pop de Hank, donc. Oh et, comme on ne change pas une équipe qui gagne, j’ai aussi eu droit au dvd de Star Wars VII car Nowel sans Star Wars c’est pas Nowel. *Non en effet c’est Noël.*

 

Et vous?? Vous avez été gâtés!? Dites moi tout en commentaires je veux savoir!!! 

Et n’hésitez pas à participer au concours!! C’est gratuit Laule. Envoyez moi votre création accompagnée du formulaire à concourerysdream@gmail.com ou sur instagram avec le hashtag #concourserysdream !!! :)

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