So long, my friends.

Bonjour mes petits rats. Ça va ?

Moi….

Moi je viens vous faire mes au-revoirs. Ou plutôt mes à-bientôts ! 

Comme je vous l’avez annoncé, Le Petit Blog Inutile, c’est fini. Je clos officiellement ce blog. Mais il restera à disposition sur la toile si vous êtes désireux de relire les 5 ans d’articles ou de revoir d’anciennes créations. Si vous êtes courageux. 

Au revoir, Petit Blog Inutile, tu auras été avec moi pendant une grande partie de mon adolescence, et même une partie de mon « après-adolescence ». Au revoir, mes chers lecteurs, tous plus sympa les uns que les autres ! Merci d’avoir bien voulu lire ce blog, merci de m’avoir soutenue. Vous êtes géniaux.

Et pour les plus coriaces d’entre vous, les désireux d’assister à la suite, voici le petit frère du Petit Blog Inutile : 

LE PETIT INUTILE

Eh oui, l’aventure change de chemin, mais elle ne s’arrête pas totalement. à Bientôt sur Le Petit Inutile

Bisous, 

Erys.

Aloha

Bon, eh bien… Comme le dit le titre, bonjour à tous ! ^^

Vous qui êtes arrivé là vous devez vous dire KÉCÉCÉ? Kécécé?
Eh bien… Un petit blog inutile comme vous avez pu le constater…
Mais l’inutile sert à ce monde! M’en fous si ça veut rien dire!! 

Alors, Je suis Erys (ce n’est pas mon vrai nom). Ca fait quelques années que je respire sur cette Terre, pas depuis bien longtemps, mais tout de même, en vrai je me fais vieille, un peu, comme disais l’autre, tsais, et je vis une petite vie bien routineuse (ce mot n’existe pas) mais bien surchargé pour le petit (grand) corps frêle que je possède.

Pseudo-comédienne semi-professionnelle apprentie artiste-illustratrice et double-diplômé en l’art de dire n’importe quoi, je suis passionnée par le dessin et le cinéma. D’animation, le cinéma. Et j’aime écrire des trucs débiles car c’est facile, gratuit, drôle et tout le monde comprend. Normalement.

 

Donc, pour vous, RIEN que pour vous, avouez je suis sympa, voici la liste non exhaustive de ce qui me caractérise : 

J’aime : Dessiner, parler, dormir, le théâtre, lire, Star Wars, Kiwi, la bièrele bacon, En Attendant Godot, la pluie, mon lit, le cinéma, chanter, Internet, les comédies musicales, Ghibli, les stylos rouges, les jus de fruit, Star Wars, la bande dessinée, Disney, les boîtes à musique, My Little Pony, le bruit des canettes de soda quand elles s’ouvrent, Alice au Pays des Merveilles, Quentin Tarantino, Astérix, le café, les dessins animés, les Pim’s à l’orange, m’occuper de ce blog, la pastèque, Breaking Bad, dessiner jusqu’à avoir mal à la main, Star Wars, les poissons dans l’eau, les lobes d’oreille, Johnny Depp, l’espace, le fromage, mon ordinateur, la lingerie, Ewan Mc Gregor, le pain, Paris, le thé très sucré, Calexico, le XIXème siècle, les shops dans les musées, les zombies, l’astronomie, Star Wars, la musique classique, le Coca light, mon doudou, les sciences quand j’ai pas à en faire mais juste à découvrir des trucs, Baudelaire, le dos de Kiwi, Glee, les pâtes, le sang dans les films, les Playmobils, vous, Raiponce, l’odeur du gazon coupé, monter sur scène, les gressins …

Je n’aime pas : Les araignées, les brocolis, manger, le thon, Adèle Exarchopoulos, les repas de famille, ne pas dessiner pendant très longtemps, les maths, les chevaux, les knackis, les gens qui disent « je ne suis pas né de la dernière pluie », Robert Pattinson (il me fait peur), me réveiller, les Vocaloid, le restaurant, les animaux, la télé réalité, l’Espagne, le fait d’avoir des lunettes, les films romantiques, la voix d’Isabelle Huppert, les enfants de moins de 2 ans, les enfants de plus de 2 ans, les clichés dans les films d’horreur, le vent, les portes qui claquent à cause du vent, les Oreos, les génériques d’animés, le poisson, la viande grasse, ma connexion Internet, Vanessa Paradis, les gens qui mangent avec la bouche ouverte, Luigi Pirandello, les films sociaux, le porc, mon dos, me réveiller, les potatoes, les jus de fruits à base de concentrés, les zoos, les gens qui ne comprennent pas que « fille » n’est pas synonyme de « cheveux longs », le noir complet, les moustiques, les gens qui spoilent pour le plaisir, Rabelais, ne plus avoir de batterie, les méchants, Somewhere, les PC, le sable, les feutres qui ne marchent plus, la philosophie, les trucs à la framboise, le reggae, mon prof de design, la danse contemporaine…

 Hein? De quoi… va parler ce blog? Ohlala! LA question qui tue! Eh bien… euh… de tout… et… de rien… Oui, bon, ok, c’est un peu facile ça. Eh bien, je vous raconterais ma magnifique et ultra-méga-giga-trop intéressante vie (LÔL), des petites anecdotes, des conseils, mes dessins, quelques textes etc… Comment survivre quand on se perd sur Internet quoi ! Enfin survivre…  

Sur ce blog, il y a moi, Erys, évidemment hein, puisque c’est mon blog, mais un autre personnage le squatte sans trop de gène. Ce squatteur, c’est Jiji. Oui, Jiji, le chat noir de Kiki. Pour x raisons, j’ai créé un jour une peluche dudit Jiji. Eh bien, depuis ce jour, cet animal squatte ma pauvre petite vie. Et le pire, c’est qu’il se prend pour un philosophe. Il a même sa propre rubrique : La Rubrique D’Un Chat Cultivé! Qu’il ne travaille pas car c’est un groooos gros fainéant *Et c’est toi qui parle…* mais bon… Enfin bref, il apparaît de temps en temps ici, le plus souvent pour démontrer sa soi-disant science infuse… 

 Je tiens à préciser que je n’accepte pas sur ce blog tous commentaire écrits en langage SMS ou en une autre langue que le français de France. ^^ Sinon, tout autre commentaire est le bienvenu et je vous en serais très reconnaissante! :3

Si vous avez des questions, direction la FAQ que vous pourrez trouver dans les différentes pages en dessous du titre du blog ou dans la colonne de droite! :D

 Aloha dans Erys, pour vous servir! 120918110051172515

(Merci Eric!!! ^w^)

 

 

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Tout plein de changements

    Coucou l’univers!! Je suis en vie.
    Et j’ai beaucoup BEAUCOUP BEAUCOUP de choses à vous dire.

    Déjà, j’ai passé fin avril, comme vous le savez, le concours pour l’école supérieure d’art de Bretagne et il s’avère que J’AI TOUT NIQUÉ PARDONNEZ MON LANGAGE. Eh oui. J’ai été prise aux trois sites que j’ai présentés, c’est à dire Brest, Quimper et Lorient, donc, NORMALEMENT, cela sonne pour moi l’heure du départ et de quitter Paris. J’ai décidé du coup d’aller m’installer à Brest avec le Kiwi et Ciboulette, afin d’entrer dans ce merveilleux monde que sont les études d’arts. Je vais galérer. Mais ça risque d’être bien fun quand même. Du coup, JE PAAARS. OUIIII!!! Bon, je vais aller voir la ville et l’école avec ma maman avant d’être sure mais, entre-nous, ma décision est prise. Je me suis trop battue pour avoir cette école et il s’avère que je l’ai eue « easy » puisque j’ai été retenue pour 3/3 sites, ce qui prouve en quelque sortes que je suis « faite » pour leur enseignement. Donc bon, tout ça sous-entends la recherche active d’un appartement et un déménagement intempestif avant septembre. Mais ça va aller. Laule.

    Autre nouvelle. Demain, je pars pour une semaine en Bretagne (oui, ça parle beaucoup de Bretagne ces derniers temps) dans la formidable « ville » d’Erquy avec Anouilh, Diggory, Petit Nuage, Batman, Biche Gonflable et Kiwi, ainsi que Rara qui arrivera vendredi ! Faut vraiment que je fasses un truc pour ces surnoms… Je pars dans la cambrousse donc je n’aurais pas internet, alors vous n’aurez pas de nouvelle de moi pendant ce temps… Sorry!!! Mais bon, c’est pas comme si une semaine de plus ou de moins allait changer quelque chose à ma ponctualité inexistante. xD

    Bon. Désormais il est temps de vous révéler la nouvelle la plus importante de cet article. Il semblerait très fortement que ledit article soit le tout dernier du blog. JE M’EXPLIQUE. En effet, Le Petit Blog Inutile, c’est fini. Je le ferme. MAIS! Puisqu’on ne se débarrasse pas si facilement de moi, Le Petit Blog Inutile ferme, certes, mais c’est pour laisser la place à son petit frère : LE PETIT INUTILE. La suite, en gros. 

    Pourquoi? Ce blog va fêter ces 5 ans. Il a bien vécu en fait. Et moi aussi. J’avais une quinzaine d’années quand je l’ai ouvert. J’ai un peu beaucoup changé depuis (encore heureux), ce qui explique de créer un nouveau blog, dans la même vague, mais plus proche de moi, et moins en raccord avec celle que j’étais avant. J’ai besoin de changements, et je crois que c’est le moment idéal pour lancer autre chose ;)

    Donc, il y aura un article pour vous présenter la nouvelle adresse du blog. Ne vous en faites pas, je ne disparais pas! 
    Bisous!! 

Quand je serai grande, je veux être performeuse.

Une brève histoire de performance, ou « Comment j’ai découvert un art bizarre et affectueux ».

            Cette histoire commence de façon tout à fait paisible. Je me devais comme à chaque semestre, de choisir un atelier de pratique théâtrale parmi la liste particulièrement vaste que me proposait la brochure. Étant en année de grand questionnement intérieur, presque métaphysique, j’avais choisis de suivre une classe préparatoire en arts plastiques en plus de ma deuxième année de licence car, c’est bien connu, j’aime le surplus de travail. Je sortais d’un premier semestre dans lequel mon cours de pratique avait été la scénographie parce que « Tu comprends, ca serait intéressant de mêler théâtre et arts plastiques, hun-hun. » Ce cours, quoiqu’intéressant, demeurait cependant très statique, et j’avais besoin de bouger. De bouger réellement. C’est la raison pour laquelle je me suis jetée, avec une force que je ne me soupçonnais guère, sur ce cours de « Performance Artistique et Théâtrale ». Même le nom était beau. J’avais fait le bon choix.

            Pourtant cette histoire, qui commençait de façon tout à fait paisible, ne le niez pas ce fut ma première phrase, prend une toute autre tournure lorsqu’arrive le travail. Le vrai. Oubliées les séances calmes et quelques fois étonnamment sensuelles du début, où l’on tournoyait sur nous-même et où nous récitions des vers de Hamlet couchés sur les doigts ramollis d’un gant en plastique bleu. Non, le vrai travail arrivait à pas de géant, celui du texte, de la mise en scène, de la distribution, de la chorégraphie, de la mémoire, de la mise en espace, du choix des accessoires, de la libération physique et de la maitrise du sang froid. Enfin bref, de la création quoi.

            Notre groupe, composé de l’italienne Raf, la taiwanaise Cycy, la plus-ou-moins marocaine Rachid et de la bien trop française moi-même, avait eu la vaste et vénérable idée de choisir comme support textuel une saynète de Carole Fréchette, un doux nom résonnant le caribou et le sirop d’érable, (vous l’aurez deviné, Carole Fréchette est en effet québécoise et je m’excuse solennellement auprès de tous les québécois pour ces clichés idiots), scène nommée simplement La Pose. On assiste aux déboires de la famille [insérer le nom de votre choix] qui se dispute à propos d’une photo à prendre, d’un fauteuil à occuper, d’une pose de groupe à organiser, d’une plante à tenir, d’un appareil à faire marcher, d’un sac à trouver, d’une histoire à raconter. Mais ce que la scène présente vraiment est une famille dans laquelle se cache un problème plus profond, une cicatrice qui n’a pas vraiment été refermée : une fille toujours absente (Marie-Luce/Cycy), un fils dépressif (Jérôme/Raf), un père coureur de jupons (Gilbert/Rachid) et une mère ayant quitté la famille pour un amant italien (Monique/Erys).

         Cette scène avait été associée à la très gaie Chaise Electrique d’Andy Warhol (1967-68), puisque chaque scène arborait son jumeau plastique dans le Centre Pompidou. La chaise électrique, le fauteuil… Un lien évident s’était créé assez rapidement : la mort. L’une d’entre nous devrait donc être morte. Très vite, mon absence le jour de la présentation de la performance s’imposa. En effet, à vouloir jouer le couteau-suisse avec mon double-cursus, je me retrouvais à passer le concours des Beaux-Arts de Rennes le même jour que la performance finale. J’ai toujours bien choisi mes emplois du temps. Mon absence inévitable se reporta alors assurément sur Monique, la mère, le rôle que j’interprétais. Monique ne serait pas seulement partie avec son amant italien puis revenue, elle serait partie tout court, et jamais revenue. Monique serait donc morte et enterrée.

            Ce fut donc notre première difficulté. Puisque je serai absente le Jour-J, mais présente les autres jours, il fallut alors créer deux versions de la même saynète. Mais puisqu’une difficulté n’arrive jamais seule, il fallait aussi trouver un moyen de représenter la mort de Monique sans non plus l’éjecter de la scène. Sa présence devait alors être symbolique. Fantomatique. Monique devrait être présente sans l’être vraiment.

            La première version, celle où je n’étais pas perdue dans le froid Rennais, mettais en scène une Monique-Spectre vêtue en tenue de deuil, lunettes noires, voilette, fleur blanche dans les mains, au milieu du public, faisant face à sa famille qui lui parlait mais ne la voyait pas. La deuxième version, bien plus compliquée à mettre en œuvre, mais encore plus symbolique, ne faisait plus du tout apparaître Monique. Seule sa voix retentissait depuis le public. Moi, de mon côté, j’étais à Rennes, sous la pluie, en train de hurler dans le combiné du téléphone pour qu’on m’entende bien, alors que je n’entendais pas un seul mot prononcé par mes camarades sur le lieu de la performance, tellement la ligne coupait. J’ai essayé tant bien que mal de me boucher une oreille et de courir à la recherche du réseau, j’ai été incapable d’entendre quoique ce soit et j’ai donc dû valser entre les interférences en plus d’entre les gouttes, pour pouvoir greffer mes quelques répliques. Il paraît que je me suis bien débrouillée et que l’illusion était parfaite. Je n’aurais pas souffert pour rien.

            Puisque deux de mes coéquipières étaient étrangères, imposant malheureusement une certaine barrière linguistique pour certains termes, et la troisième étant co-présidente de beaucoup trop d’associations, j’ai dû endosser un rôle de metteur en scène assez important pour cette performance. Cela s’est aussi ajouté au fait que je n’étais même pas capable d’être présente le jour J. Il fallait bien que je serve à quelque chose, non mais sans blague. Je me suis alors pour la première fois de ma vie, vraiment proposée en tant que metteur en scène, avec l’aide de Rachid. C’était un nouveau défi. C’était aussi un rêve caché tout au fond de mon petit cerveau, mais c’était surtout un défi. Il a fallu trouver des idées, les modérer, laisser les autres proposer leurs propres idées, ne surtout pas être trop autoritaire et savoir organiser tout ça. Il a fallu prendre patience, et je me suis rendue compte que savoir faire comprendre une intention à quelqu’un n’est pas toujours évident, et encore plus lorsque cette personne ne maîtrise pas très bien votre langue (mais je ne les blâme pas, je suis incapable de dire un seul mot des leurs.) Un grand travail de mouvement et de chorégraphie a aussi été mis en place. Les performeuses seraient trois, nombre un peu mesquin, il fallait trouver un bon équilibre scénique pour que ces trois-là se marchent sur les pieds sans se faire mal, et surtout sans détruire les œuvres de la salle de Pompidou.

            Il a fallu se dépasser pour proposer une création à mi-chemin entre naturalisme et symbolisme, en créant une atmosphère double, aussi drôle que pesante. Ce travail en équipe fut aussi compliqué par le peu de séances que nous avions malgré tout pour proposer un travail efficace rapidement. J’ai découvert de ce fait le formidablement intéressant mais compliqué monde de l’adaptation. La scène étant plutôt longue, et ayant sous la main des comédiennes avec une légère difficulté à apprendre un texte en français, ce qui est tout à faire légitime d’ailleurs, nous avons dû en couper une grande partie, et adapter les répliques pour que le sens premier du texte soit néanmoins conservé et que Carole Fréchette ne se sente pas contrariée à force de nous voir trifouiller son œuvre. Le travail en groupe, même si plutôt difficile, a malgré tout été très intéressant et m’a personnellement permis de me dépasser dans mes capacités théâtrales. Je quittais doucement le jeu pour effleurer la mise en scène, ainsi que le théâtre performatique.

            D’ailleurs, si la performance artistique est un moyen pour l’artiste de se dépasser, de franchir ses limites corporelles, intellectuelles et sociales, c’est, à mon avis, surtout un moyen pour l’artiste de mélanger les arts et de briser sa routine, tout en brisant celle du regardeur. Si je n’ai malheureusement pas eu la possibilité d’être présente le jour de la performance, j’ai malgré tout senti le rapport particulier qu’on a avec le public lors d’une performance artistique. Il ne vient pas nous regarder agir délibérément comme au théâtre, c’est nous qui venons agir à son insu, sans qu’il s’y attende, et parfois sans qu’il n’aie initialement vraiment envie. Et même si je n’étais pas à Pompidou le jour J, j’ai en quelque sorte proposé ma propre « performance », celle de crier dans un téléphone, en t-shirt sous la pluie, sur le parvis de la Place des Lices de Rennes. Un vrai bonheur. Mais, plus sérieusement, pour moi, la performance c’est essentiellement un moyen pour les artistes de défendre leurs opinions en faisant tout et surtout n’importe quoi dans un musée. Et ça, c’est formidable. Quand je serai grande, je veux être performeuse.

Kouign-Amann

Salut! Ça va les gars? Moi ça va. Je crois. Oui. On essaye. Lol.

 

Alors aujourd’hui, ou plutôt ce soir, un bon petit article des familles, comme à l’ancienne, juste pour raconter ma vie, parce que après tout je suis bonne qu’à ça hein, on se l’accorde, merci. 

En fait un petit article pour vous dire quelles sont mes projets en ce moment mes projets supposés du moins, ça se passe niveau fac, niveau prépa, niveau concours etc. toi-même tu sais. Donc, j’ai passé les Arts Déco et une école à Angoulême que j’ai, majestueusement, foiré, voilà. Mais heureusement j’ai passé les Beaux-Arts de Limoges,et là contre toute attente, bah ils m’ont kiffée et j’ai été acceptée. Donc ça c’est cool. Même si techniquement j’ai pas vraiment envie d’aller à Limoges. Mais au moins je sais que je peux aller quelque part. Attention la porcelaine me voilà.

Mais, le concours que je vise, et je crois que étonnamment je ne vous en avais pas encore parlé, ce sont les Beaux-Arts de Bretagne, et plus précisément les Beaux-Arts de Brest, en Bretagne donc oui et ben évidemment, et que je passe dans deux semaines. Pourquoi les Beaux-Arst de Bretagne me direz-vous? Enfin pourquoi les Beaux-Arts de Brest plutôt parce que Quimper, Lorient et Rennes, je m’en balek. Lol. Donc, pourquoi Brest, et bien déjà parce que ça fait très très longtemps que j’ai envie d’aller en Bretagne pour y vivre, parce que là-bas il y a de l’alcool, des crêpes, du beurre salé, et l’océan. Plus ou moins tout ce qui fait ma vie donc. Avec Star Wars, on ne se refait pas.

En fait, après avoir vécu 18 longues années au bord de l’eau, et ensuite de me retrouver depuis deux ans dans Paris, a.k.a. la ville la moins personnelle de l’univers, j’ai un besoin assez prononcé de retour à l’eau. Et la Bretagne fait tout à fait l’affaire. Sachant que tous les bretons que j’ai rencontré de ma vie, même ce qui n’ont que des origines bretonnes, sont les gens les plus sympas de la terre. Et moi qui suis passée des Cannoises aux bobos parisiens théâtreux, je sais de quoi je parle.

Donc pourquoi Brest ensuite alors que je sais que ce n’est pas à la ville rêvée de la Bretagne dans le sens où c’est pas très très beau, (désolée les brestois hein je rêve d’aller chez vous le prenez pas mal) c’est parce que ça me permettrait de retrouver le Kiwi. Pour l’instant il est donc à Nice, mais il s’avère qu’il y’a un Master en biologie qu’il intéresserait pas mal à Brest, et donc ce serait un moyen pour nous d’éviter cette distance qu’on vit depuis deux ans maintenant et qui un peu chiante… Donc en fait cette ville serait non seulement l’initiation à ma future nationalité bretonne (c’est tipar les gars, je serai bientôt aussi Bretonne que Merlin), à des petits bonds dans l’océan Atlantique qui font du bien, à retrouver l’autre débile (keur), et à pouvoir faire une formation artistique qui me plaît, car entre nous l’école a l’air géniale.

Mais pour ça, il faut que j’ai le concours. Et c’est pas encore fait. Et ça fait très peur. Bon, s’il s’avère que je dois partir, ce qui serait en même temps très cool pour toutes les raisons que je viens d’annoncer dans le paragraphe au-dessus n’ayez pas la mémoire courte svp, ça voudrait aussi dire que, bien qu’heureuse de quitter Paris, je quitterai aussi des poutits gens que j’aime fort. (Rachid, Anouilh, Jardin ou Biche-Gonflable pour ne citer qu’eux.) Alors certes il n’est pas question  pour autant que j’arrête ma licence, et si je pars je compte faire ma troisième année de licence à distance, en revenant à Paris juste pour les partiels, car j’arrête pas un truc que j’ai commencé j’aime pas ça. Ça, plus le fait que Rachid reprenne l’atelier comédie musicale de la fac l’année prochaine et a plus ou moins besoin de moi comme son assistante number one because you peux pas test, ça voudra dire que je retournerai quand même pas mal les week-ends à Paris, ce qui me plaît, car même si j’aimerais énormément partir, ça va être un peu dur de quitter mes amis, qui je le répète sont des gens absolument formidable, et que wow, je serais pas celle que je suis aujourd’hui sans eux.

Omg mais c’est touchant ce que je dis.

Bref voilà mes projets futurs, du moins ceux que j’aimerais pouvoir réaliser même si vous l’avez compris c’est pas encore fait, il ne me reste plus qu’à croiser les doigts et à tout déchirer au concours. Sachant que ce même concours tombe en même temps que mes partiels, ce qui m’arrange vraiment énormément, hein, merci, génial, trop easy.

Enfin voilà c’est ce qui me fait vivre en ce moment mon stress et tout ça. Mais c’est Pâques alors ça va. Même si je le passe toute seule. Avec Ciboulette. Et Jiji. Ouais je suis pas seule en fait ! 

 

J’espère que vous tout va bien, désolée du manque d’articles en ce moment mais avec les partiels et les concours je suis un peu débordée. Mais dès que je suis en vacaciones, comme dirait Victoria Abril, je vous raconte tout plein de trucs! ;)

Mais à défaut d’être un peu absente ici, je vous annonce qu’il y a de nouveaux écrits sur Mon Sang d’Encre donc en vrai je bosse hihi!! 

 

Bisous mes rats

 

 

J’ai jamais goûté de kouign-amann.

RÉSULTATS DU CONCOURS AMATEUR 2017

Bonsoir l’univers…

Aujourd’hui est un jour particulier. 
Tellement particulier qu’il faudrait me canoniser et faire de ce jour un jour férié. 

« Pourquoi? », me dites-vous, tout plein d’espoir et de crème chantilly? Eh bien parce que c’est le jour que vous attendez tous. Oui, je le sais, ne mentez pas. C’est le jour…

 

DES RÉSULTATS DU CONCOURS!!! GOOOOO.

Eh oui.. (je sais je suis en retard)
Petit rappel : le thème était L ‘ A R B R E et les techniques était libres. :3

 

Déjà, j’aimerais remercier tous les participants, d’avoir aussi bien joué le jeu et d’avoir créé des oeuvres toutes plus cool les unes que les autres!! :D Vous avez vraiment créé des choses beaucoup trop classes, et je suis super fière de vous! Vraiment! Le choix a été vraiment difficile, car tout est plutôt ouffissime!! Je tiens à préciser que je suis l’entière «  »"juge »" » du concours, et que vous avez été sélectionnés selon l’originalité et les « qualités plastiques ». Mais c’était vraiment galère car vous êtes tous talentueux omg!! Bravo sincèrement à tout le monde, je ne m’attendais pas à voir autant de talent tout partout!! :D Bravo, bravo, bravo!!! 
Et, même si c’est triste, tout le monde ne peut pas gagner… 

Je vais donc de ce pas annoncer les 5 premiers (dont les deux gagnants : le numéro 2 et le numéro 1)

En cinquième place, nous avons notre trop méga cool Clara, qui nous a proposé cette super aquarelle un peu brumeuse vraiment trop canon!!

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Description : C’est une petite aquarelle que j’ai faite un après-midi en décembre avec ma grand-mère, elle est liée à beaucoup de souvenirs.

 

Pourquoi j’ai choisi cette oeuvre : La compo, le vert bouteille et les nuances de gris, les arbres-brindilles un peu flou, l’aspect brumeux. ♥

 

 

En 4e nous avons mademoiselle Elsie qui ma foi a aussi proposé un truc assez formidable!! Superbe dessin!! Woooo!!!

 

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Description : Ben, déjà, c’est un dessin. Parce que c’est avec ça je me sens le plus à l’aise. J’avais envie de tester l’aquarelle pour un rendu un peu délavé. Ensuite, j’ai décidé de faire une oeuvre dont le sens est un peu abstrait. Parce que… Je préfère laisser celui qui le vois l’analyser, imaginer ce qui lui plaît. Et troisièmement, un petit peu inconsciemment, j’ai écrit ce petit quatrain pour accompagner mon dessin:

L’arbre s’étend, revêt son ébène, 
Étire ses branches jusqu’au matin,
Où l’humain cueille, d’une main incertaine,
Les fruits célestes de son destin.
Je ne suis pas sûre que ça ai beaucoup de sens, mais mon dessin et mon poème vont de pair, alors je te l’écris tout de même ^^
Pourquoi j’ai choisi cette oeuvre : La qualité du dessin et de la peinture, l’originalité du sujet, le poème, les pommes d’or. 
En 3e place nous avons Tiao, qui mon dieu a fait un truc complètement dingue!! Vraiment!! Genre!! Wow. Bravoooo!!
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Description : Sculpture miniature d’un arbre sur mine de crayon. Sa hauteur est de 10 mm. 
Pourquoi j’ai choisi cette oeuvre : Déjà parce que la technique est dingue, que c’est un crayon noir (^w^), que c’est super original et inattendu, et à nouveau, la technique est INCROYABLE. 
Et enfin, nous arrivons au moment des deux « finalistes », les deux gagnants de ce poutit concours bon enfant.
EN DEUXIÈME PLACE : 
Nous avons ce cher et incroyable Édam qui nous a fait une de ces BD mon dieu je pleure tellement c’est canon. (malheureusement je peux pas tout mettre dans l’article car c’est long alors je mets pour l’instant que 2-3 pages mais je m’arrangerais (s’il est d’accord) pour poster le tout dans un album). Bravo petit Édam. Tu pez. 
(ce sont des pages dans le désordre, il y en a 25 en vrai. xD)
Capture d’écran 2017-04-06 à 20.21.39  Capture d’écran 2017-04-06 à 20.21.46  Capture d’écran 2017-04-06 à 20.22.44   Capture d’écran 2017-04-06 à 20.22.18
Description : C’est une bd de 25 pages avec un arbre dedans. Je suis vraiment désolé pour les croix gammés. Et pour la branlette intellectuelle.
Pourquoi j’ai choisi cette oeuvre : Car ce type est vraiment talentueux, et ça ça saute aux yeux, pour la qualité du dessin, pour l’originalité du sujet, pour avoir créé une véritable BD de 25 pages, pour la coolitude de l’histoire, pour la vraie patte personnelle là dedans. (mon cher Édam, ton univers est fou. J’te veux dans mon équipe. This is the Voice.) 
Et enfin le, enfin la gagnante de ce concours, le PREMIER PRIX EST ATTRIBUÉ À : 
petit roulement de tambour
KINA!!!Pour cette… chose absolument dingue que tu nous a produite! L’Arbre Ondoyant, de Kina, voilà, mesdames et messieurs, ce qui clôt notre concours. Bravo Kina. Genre vraiment.

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Description :  J’ai commencé en ayant pas mal d’idée pour se concours, tels des abres extra-terrestres ressemblant à des sortes algues-anémones, un arbre mort dessiné à la van Gogh mais aucune m’inspirait autant qu’une symbiose arbre-insecte. Pour preuve je joint à ce mail un montage de toute les idées et designs de arbre-insecte et de scarabée en général. 

L’idée m’est venu avec le champignon Ophiocordyceps qui parasite puis pousser sur la carapace de fourmis. Je me demandais à quoi pouvais ressembler une symbiose moins glauque entre un arbre et un insecte, et comme idée une fourmi-cactus et un scarabée-sorte-de-cerisier-bizarre. J’ai finalement fait ce scarabée car il m’inspire une certaine délicatesse et élégance que la fourmi n’avait pas.

Pourquoi j’ai choisi cette oeuvre : Car c’est ouffissime. Le dessin est magnifique, l’idée est superbe, c’est beau, c’est poétise, c’est surréaliste, c’est personnel, c’est original, c’est culotté et c’est canon. ♥

J’aimerais très sincèrement et à nouveau remercier tous les participants. Vous êtes des bêtes les gars. Vraiment. Wow. Je suis super fière d’avoir des lecteurs aussi talentueux! Merci de m’avoir offert tout ça, désolée d’avoir été si longue à choisir, mais merci de m’avoir inspirée, fait rire, sourire, pleurer, car oui je suis hyperémotive pour ceux qui l’auraient oublié. Vous êtes formidables. Je vous aime. 

Petite dédicace à Ierothôt (qui oui, a participé, iel (tavu? :3) est partout.) : Désolée, t’as pas gagné, j’te promets j’ai lu 12 fois ta pièce, j’ai toujours pas tout capté. Je vais continuer Les Ombres plutôt hein… Ahaha! Mais Ino est formidable. Presque autant que la Fée des Ombres

Nande Teke

Bonsoir mes rats.
Comment allez-vous? Moi ça passe, mais je suis pas là pour parler de ça (pour une fois)
Non, je suis là pour vous présenter un projet très meugnon qu’Anouilh et moi avons mis en place, et ce projet, c’est une chaine youtube.

Nande Teke.

Nande Teke, kécécé?
C’est une chaine donc, pseudo-artistico-politico-socio-débilo-nympho-philo-what-the-fuckesque. C’est précis hein ? En gros, c’est un ramassis de ce que notre cerveau d’artistes incomprises décide de partager. Donc y a, de l’humour, du troll, des critiques de la société, du vide et des actes pas très catholiques sur un lama rose.
Mais c’est sympatoche.

Abonnez-vous.

Peace. <3 

 

Voici un aperçu du travail :
(on est trop des artistes tavu)

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